Jeudi 11 septembre 2008 à 22:07

Homa mama yéo -

Fièvre, la fièvre me prend sa main maniant la faucille au hasard -

la fièvre me prend -

Tu es comme le chêne liège que l'on dépouille de son écorce et que l'on laisse -

 et que l'on blesse -

Homa -

 Nul ne sait, et le vent à soufflé -

sur le chêne liège blessé -

les salves ont noyé tes songes et moi le mensonge me ronge -

 Tu cherches les tiens dans une poignée de sable -

Que la fièvre apporte la réflexion au fou qui sans honte obéit aux ordres sombres -

Homa homa-

Lorsque la haine préside dans le noir pleurent les sylphydes-

 Homa mama yéo

Aucun commentaire n'a encore été ajouté !
 

Ajouter un commentaire









Commentaire :








Votre adresse IP sera enregistrée pour des raisons de sécurité.
 

La discussion continue ailleurs...

Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://marjo-tout-court.cowblog.fr/trackback/2674198

 
Créer un podcast